La vision spirituelle de Damascius, dernier grand néoplatonicien de l’école d’Athènes est l’une des plus profondes, subtiles et mystiques de toute la philosophie antique. C’est une pensée au seuil de l’indicible, qui pousse le néoplatonisme jusqu’à son point de bascule : l’Un-Vacuité absolument ineffable. Damascius affirme que même l’Un ne peut être dit Un.

« L’Un est encore une détermination. Ce qui est absolument premier est au-delà de toute unité. »

Au-delà de toute intellection, il y a l’Un-Vacuité. Le maître pousse la pensée jusqu’à son effondrement fécond. L’être, l’âme, le monde sont des échos affaiblis du silence originaire. L’Ultime Réel est au-delà même de l’Un, toute parole se brise devant l’Ineffable. En ce sens, il déconstruit tout ce que le langage dit sur le divin.

« Il faut laisser l’Un se dire dans son mutisme. »
« L’Origine est plus obscure que l’obscurité elle-même. »

Damascius et le bouddhiste Nagarjuna se retrouvent dans leur approche sur plusieurs points. Tous deux démontent rationnellement toutes les affirmations ontologiques. Ils utilisent le raisonnement aporétique pour montrer que tout concept est inadéquat. Damascius est notre Nagarjuna. Le maître néoplatonicien expose trois principes qui répondent à des niveaux de réalité et dont l’âme peut contempler en remontant vers l’Origine, jusqu’au silence.

1/L’Un, absolument ineffable, sans qualité, au-delà de l’être;
2/L’unité, ce par quoi l’Un engendre, sans sortir de lui-même;
3/L’unifié, ce qui reçoit l’unité : le Noùs (intellect), l’Âme, et le cosmos tout entier.

Ces trois principes renvoient à des états de conscience modifiés. Le maître nous présente le dépouillement progressif de toute représentation afin de voir le Silence, et ce de façon méthodique. Pour lui, le retour du regard au silence est un retroussement du regard. Par conséquent, le changement d’état de conscience ne vient pas d’une technique, mais de l’épuisement de la pensée vers l’Origine.

« Il n’est ni Un, ni Être, ni Dieu, ni intellect, ni même au-delà de tout cela : il est l’Origine obscure, le fond sans fond, la limite de toute limite. »

#gnose #spiritualité #philosophie #éveil #nagarjuna #bouddhisme #platon
#méthodesna #nathlesbonstuyaux
#calvapower #voirleverreàmoitiéplein
#misspositiveattitude
#aphanizomenonflosaquae #afa
#calvados #normandie
#changerdeaupourchangerdevie
#humanitude #etsiondiscutait #esod
#lesmontsdaunay

La vision spirituelle de Damascius, dernier grand néoplatonicien de l’école d’Athènes est l’une des plus profondes, subtiles et mystiques de toute la philosophie antique. C’est une pensée au seuil de l’indicible, qui pousse le néoplatonisme jusqu’à son point de bascule : l’Un-Vacuité absolument ineffable. Damascius affirme que même l’Un ne peut être dit Un.

« L’Un est encore une détermination. Ce qui est absolument premier est au-delà de toute unité. »

Au-delà de toute intellection, il y a l’Un-Vacuité. Le maître pousse la pensée jusqu’à son effondrement fécond. L’être, l’âme, le monde sont des échos affaiblis du silence originaire. L’Ultime Réel est au-delà même de l’Un, toute parole se brise devant l’Ineffable. En ce sens, il déconstruit tout ce que le langage dit sur le divin.

« Il faut laisser l’Un se dire dans son mutisme. »
« L’Origine est plus obscure que l’obscurité elle-même. »

Damascius et le bouddhiste Nagarjuna se retrouvent dans leur approche sur plusieurs points. Tous deux démontent rationnellement toutes les affirmations ontologiques. Ils utilisent le raisonnement aporétique pour montrer que tout concept est inadéquat. Damascius est notre Nagarjuna. Le maître néoplatonicien expose trois principes qui répondent à des niveaux de réalité et dont l’âme peut contempler en remontant vers l’Origine, jusqu’au silence.

1/L’Un, absolument ineffable, sans qualité, au-delà de l’être;
2/L’unité, ce par quoi l’Un engendre, sans sortir de lui-même;
3/L’unifié, ce qui reçoit l’unité : le Noùs (intellect), l’Âme, et le cosmos tout entier.

Ces trois principes renvoient à des états de conscience modifiés. Le maître nous présente le dépouillement progressif de toute représentation afin de voir le Silence, et ce de façon méthodique. Pour lui, le retour du regard au silence est un retroussement du regard. Par conséquent, le changement d’état de conscience ne vient pas d’une technique, mais de l’épuisement de la pensée vers l’Origine.

« Il n’est ni Un, ni Être, ni Dieu, ni intellect, ni même au-delà de tout cela : il est l’Origine obscure, le fond sans fond, la limite de toute limite. »

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La vision spirituelle de Damascius, dernier grand néoplatonicien de l’école d’Athènes est l’une des plus profondes, subtiles et mystiques de toute la philosophie antique. C’est une pensée au seuil de l’indicible, qui pousse le néoplatonisme jusqu’à son point de bascule : l’Un-Vacuité absolument ineffable. Damascius affirme que même l’Un ne peut être dit Un.

« L’Un est encore une détermination. Ce qui est absolument premier est au-delà de toute unité. »

Au-delà de toute intellection, il y a l’Un-Vacuité. Le maître pousse la pensée jusqu’à son effondrement fécond. L’être, l’âme, le monde sont des échos affaiblis du silence originaire. L’Ultime Réel est au-delà même de l’Un, toute parole se brise devant l’Ineffable. En ce sens, il déconstruit tout ce que le langage dit sur le divin.

« Il faut laisser l’Un se dire dans son mutisme. »
« L’Origine est plus obscure que l’obscurité elle-même. »

Damascius et le bouddhiste Nagarjuna se retrouvent dans leur approche sur plusieurs points. Tous deux démontent rationnellement toutes les affirmations ontologiques. Ils utilisent le raisonnement aporétique pour montrer que tout concept est inadéquat. Damascius est notre Nagarjuna. Le maître néoplatonicien expose trois principes qui répondent à des niveaux de réalité et dont l’âme peut contempler en remontant vers l’Origine, jusqu’au silence.

1/L’Un, absolument ineffable, sans qualité, au-delà de l’être;
2/L’unité, ce par quoi l’Un engendre, sans sortir de lui-même;
3/L’unifié, ce qui reçoit l’unité : le Noùs (intellect), l’Âme, et le cosmos tout entier.

Ces trois principes renvoient à des états de conscience modifiés. Le maître nous présente le dépouillement progressif de toute représentation afin de voir le Silence, et ce de façon méthodique. Pour lui, le retour du regard au silence est un retroussement du regard. Par conséquent, le changement d’état de conscience ne vient pas d’une technique, mais de l’épuisement de la pensée vers l’Origine.

« Il n’est ni Un, ni Être, ni Dieu, ni intellect, ni même au-delà de tout cela : il est l’Origine obscure, le fond sans fond, la limite de toute limite. »

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« L’Un est encore une détermination. Ce qui est absolument premier est au-delà de toute unité. »

Au-delà de toute intellection, il y a l’Un-Vacuité. Le maître pousse la pensée jusqu’à son effondrement fécond. L’être, l’âme, le monde sont des échos affaiblis du silence originaire. L’Ultime Réel est au-delà même de l’Un, toute parole se brise devant l’Ineffable. En ce sens, il déconstruit tout ce que le langage dit sur le divin.

« Il faut laisser l’Un se dire dans son mutisme. »
« L’Origine est plus obscure que l’obscurité elle-même. »

Damascius et le bouddhiste Nagarjuna se retrouvent dans leur approche sur plusieurs points. Tous deux démontent rationnellement toutes les affirmations ontologiques. Ils utilisent le raisonnement aporétique pour montrer que tout concept est inadéquat. Damascius est notre Nagarjuna. Le maître néoplatonicien expose trois principes qui répondent à des niveaux de réalité et dont l’âme peut contempler en remontant vers l’Origine, jusqu’au silence.

1/L’Un, absolument ineffable, sans qualité, au-delà de l’être;
2/L’unité, ce par quoi l’Un engendre, sans sortir de lui-même;
3/L’unifié, ce qui reçoit l’unité : le Noùs (intellect), l’Âme, et le cosmos tout entier.

Ces trois principes renvoient à des états de conscience modifiés. Le maître nous présente le dépouillement progressif de toute représentation afin de voir le Silence, et ce de façon méthodique. Pour lui, le retour du regard au silence est un retroussement du regard. Par conséquent, le changement d’état de conscience ne vient pas d’une technique, mais de l’épuisement de la pensée vers l’Origine.

« Il n’est ni Un, ni Être, ni Dieu, ni intellect, ni même au-delà de tout cela : il est l’Origine obscure, le fond sans fond, la limite de toute limite. »

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« L’Un est encore une détermination. Ce qui est absolument premier est au-delà de toute unité. »

Au-delà de toute intellection, il y a l’Un-Vacuité. Le maître pousse la pensée jusqu’à son effondrement fécond. L’être, l’âme, le monde sont des échos affaiblis du silence originaire. L’Ultime Réel est au-delà même de l’Un, toute parole se brise devant l’Ineffable. En ce sens, il déconstruit tout ce que le langage dit sur le divin.

« Il faut laisser l’Un se dire dans son mutisme. »
« L’Origine est plus obscure que l’obscurité elle-même. »

Damascius et le bouddhiste Nagarjuna se retrouvent dans leur approche sur plusieurs points. Tous deux démontent rationnellement toutes les affirmations ontologiques. Ils utilisent le raisonnement aporétique pour montrer que tout concept est inadéquat. Damascius est notre Nagarjuna. Le maître néoplatonicien expose trois principes qui répondent à des niveaux de réalité et dont l’âme peut contempler en remontant vers l’Origine, jusqu’au silence.

1/L’Un, absolument ineffable, sans qualité, au-delà de l’être;
2/L’unité, ce par quoi l’Un engendre, sans sortir de lui-même;
3/L’unifié, ce qui reçoit l’unité : le Noùs (intellect), l’Âme, et le cosmos tout entier.

Ces trois principes renvoient à des états de conscience modifiés. Le maître nous présente le dépouillement progressif de toute représentation afin de voir le Silence, et ce de façon méthodique. Pour lui, le retour du regard au silence est un retroussement du regard. Par conséquent, le changement d’état de conscience ne vient pas d’une technique, mais de l’épuisement de la pensée vers l’Origine.

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Hello les amis voici une petite vidéo pour bien demarre cette journée

Être spirituel ne signifie pas être amour et lumière à chaque instant.
Être spirituel, ce n’est pas se dissoudre dans la béatitude ni sourire béatement pendant qu’on nous piétine l’âme.

C’est avoir traversé l’ombre.
C’est savoir quand se taire,
et quand hurler pour se faire entendre.

C’est bénir…
mais aussi poser des limites claires comme des lames.
C’est dire « je t’aime » les mains ouvertes —
et dire « non » les racines bien ancrées dans le sol.

Parce que la lumière véritable ne naît jamais sans feu.
Et l’amour authentique n’est jamais complaisant.
Il est juste. Tranchant parfois.
Mais toujours sacré.

✨ Être spirituel, ce n’est pas être inoffensif.
C’est être conscient.
Conscient de ce qui sert l’amour —
et de ce qui le travestit.

Et parfois, ce que l’on appelle « colère »,
ce n’est pas de la rage destructrice.
C’est la flamme de la dignité qui refuse de s’éteindre.
C’est l’âme qui dit : « Assez. Je mérite mieux que ça. »

On a trop longtemps associé la spiritualité à la soumission.
À une neutralité fade, à une paix morte.
Mais la vraie paix… elle est vivante.
Elle se défend.
Elle protège.
Elle rugit quand il le faut.

La spiritualité, ce n’est pas fuir les conflits.
C’est apprendre à les traverser sans s’y perdre.
C’est alchimiser la blessure sans la nier.
C’est faire le choix du respect, de soi comme des autres.
Et parfois, cela signifie dire STOP.
Hauteur ne signifie pas silence.
Amour ne signifie pas avaler l’inacceptable.
Lumière ne signifie pas anesthésie.

Tu peux être lumière
et garder des griffes dans ton dos.
Tu peux être amour
et refuser d’ouvrir ta porte à ceux qui ne respectent rien.
Tu peux être paix
et garder la mémoire de ton feu.

Parce que ton feu, c’est ta vie.
Et la vraie spiritualité, c’est l’incarnation entière de ton humanité.
Pas une version édulcorée pour plaire aux yeux endormis.

« Je ne suis pas ici pour être sage selon vos définitions.
Je suis ici pour être vraie.
Et parfois, la vérité foudroie. »
– Corinne De Leenheer

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La choré de l\été #méthodesna #nathlesbonstuyaux
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Hello les amis J2/90! Apres une première journée au top ! L'objectif de ce jour la c'est de faire pareil et de répondre aussi aux messages ! Et de continuer les efforts et mettre en place encore plein de choses pour les 4 fantastiques !

Hello les amis ! Petite vidéo intéressante sur la peur du coach de serena Williams